Pour les accros que nous sommes, Pancho., Angélique, Sylvaine, Catherine, Marc et moi, nous n’avons pas hésité à aller à Paris pour voir le concert d’Elio Reve Jr. y su Charangon.
Pour ceux qui ne connaissent pas (comme nous, avant d’y aller), ce groupe de 15 musiciens, dirigé par Elio Revé Jr, fils du grand Elio Revé, est l'une des formations les plus populaires de Cuba . ELIO REVE Y SU CHARANGON, c'est un mélange de rythmes cubains, Son , Changuï, Rumba, et une touche de modernité pour un résultat explosif.
L’après-midi était dédié aux stages avec une initiation à la salsa avec François Lovighi, du Reggaeton avec Madeline et enfin de la Salsa suelta avec Alex Salserito.
Comme l’évènement était de taille, nous nous attendions à une meilleure organisation. En effet, malgré une arrivée ponctuelle, nous n’avons pu entrer dans la discothèque qu’après 45 minutes d’attente dehors il n’y avait pas d’accès direct pour les personnes qui avaient déjà leur billet.
Pour nous, le stage de F. Lovighi n’a donc duré que 15 minutes, juste le temps de se glisser dans la rueda et de faire trois ou quatre passes.
Après réflexion, ce n’était pas tout à fait négatif car nous avions besoin de toute notre énergie pour pouvoir suivre une Madeline déchaînée (comme à son habitude !), qui nous a fait bouger tout le corps dans un enchaînement explosif.
Nous étions donc chauds, pour la salsa suelta avec Alex Salserito.
Entre chaque stage et avant que les artistes n’arrivent, nous avons pu nous mêler aux danseurs et danseuses parisiens. Etant donné le monde qu’il y avait, c’était assez facile de se faire inviter à danser et le brassage a été réussi.
Puis Elio Reve est arrivé avec un peu de retard (comme tout artiste qui se respecte) et là, plus personne n’a dansé, sauf les accros qui se sont mis dans les petits coins alors que la majorité des gens étaient debout à chanter avec les musiciens.
La sonorisation aurait pu être mieux. Les morceaux joués étaient un peu rapides mais cela ne nous a pas empêché de continuer à danser. On s'en est mis plein les yeux avec certains (très bons) danseurs en se disant que nous aussi, un jour on y arrivera ! Peut-être….
Le concert a duré une heure et puis il y a eu les rappels qui eux aussi ont duré une heure…
Pour ceux qui ne connaissent pas (comme nous, avant d’y aller), ce groupe de 15 musiciens, dirigé par Elio Revé Jr, fils du grand Elio Revé, est l'une des formations les plus populaires de Cuba . ELIO REVE Y SU CHARANGON, c'est un mélange de rythmes cubains, Son , Changuï, Rumba, et une touche de modernité pour un résultat explosif.
L’après-midi était dédié aux stages avec une initiation à la salsa avec François Lovighi, du Reggaeton avec Madeline et enfin de la Salsa suelta avec Alex Salserito.
Comme l’évènement était de taille, nous nous attendions à une meilleure organisation. En effet, malgré une arrivée ponctuelle, nous n’avons pu entrer dans la discothèque qu’après 45 minutes d’attente dehors il n’y avait pas d’accès direct pour les personnes qui avaient déjà leur billet.
Pour nous, le stage de F. Lovighi n’a donc duré que 15 minutes, juste le temps de se glisser dans la rueda et de faire trois ou quatre passes.
Après réflexion, ce n’était pas tout à fait négatif car nous avions besoin de toute notre énergie pour pouvoir suivre une Madeline déchaînée (comme à son habitude !), qui nous a fait bouger tout le corps dans un enchaînement explosif.
Nous étions donc chauds, pour la salsa suelta avec Alex Salserito.
Entre chaque stage et avant que les artistes n’arrivent, nous avons pu nous mêler aux danseurs et danseuses parisiens. Etant donné le monde qu’il y avait, c’était assez facile de se faire inviter à danser et le brassage a été réussi.
Puis Elio Reve est arrivé avec un peu de retard (comme tout artiste qui se respecte) et là, plus personne n’a dansé, sauf les accros qui se sont mis dans les petits coins alors que la majorité des gens étaient debout à chanter avec les musiciens.
La sonorisation aurait pu être mieux. Les morceaux joués étaient un peu rapides mais cela ne nous a pas empêché de continuer à danser. On s'en est mis plein les yeux avec certains (très bons) danseurs en se disant que nous aussi, un jour on y arrivera ! Peut-être….
Le concert a duré une heure et puis il y a eu les rappels qui eux aussi ont duré une heure…
Publié par Coppélia (Frédérique)
Articles
Je vous incite à participer à un stage de Madeline. Elle est super tonique et sait transmettre ses connaissances et son envie de danser. Elle est quasiment chaque week-end en province. Son programme est indiqué sur le site www.cubanadanse.com.
RépondreSupprimerJ'ai adoré la section de cuivre de l'orchestre et le CD de "Fresquecito" est fabuleux. Il n'est pas encore sorti en France. Mais, pour notre part, grâce à Marc, on a pu avoir le C.D.
Dernier point : C'était l'occasion de retrouver pas mal de connaissances : Nike Paredes (prof de salsa maintenant à Birmingham), Edwige de Caen, et Marc notre ancien danseur de Salsa 72 Alençon. Comme quoi le monde est petit!
En tout cas, ça donne envie de participer aux prochains stages sur Argenteuil. C'est le 9 mars avec notamment "Orlando Poleo" en concert. C'est organisé par l'association "Cuba Sin frontera".
Pour plus de renseignements, contactez : carlos-rafael@wanadoo.fr.
Au plaisir de se retrouver sur les pistes...
Dommage que le nombre de participants et la disposition de la salle n'aient pas permis de suivre facilement les cours, car les profs avaient un potentiel hallucinant!
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